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Fab-Brick : de la bonne idée au bon développement

Fab-Brick : de la bonne idée au bon développement

Fab-Brick : une idée qui a fait son chemin

Nous avons découvert Fab-Brick en 2017 et nous avions déjà fait un focus sur notre ancien site Oggma.

Ce projet créé de toutes pièces par Clarisse Merlet, étudiante en architecture, est né de l’idée que le secteur de la construction était polluant et énergivore et que celui du textile portait les mêmes caractéristiques. L’idée a donc consisté à se servir des déchets de l’autre pour l’utiliser dans l’un. En résumé se servir des vêtements usagers pour élaborer un isolant phonique et thermique.

Formées à partir de textiles usagés et assemblées avec une colle écologique, les « Bricks » ont l’avantage de s’emboîter façon Lego (encore une bonne idée !). Clarisse Merlet soumet donc son projet dans des concours et sur une plate-forme de financement participatif (c’est à cette occasion que nous avons découvert le projet).

 

mobilier de magasin élaboré avec les briques de FabBrick

Sans doute parce que le prix et le format (et peut-être le concept), le concept n’a pas conquis les constructeurs BTP.

En revanche, assembler ces briques pour en faire du mobilier a permis à la jeune entreprise de trouver sa voie et de se développer (voir photo ci-contre dans un magasin d’une grande chaîne de vêtements).

Aujourd’hui l’entreprise compte une dizaine de salariés et propose toutes sortes d’objets pour le design intérieur dans des gammes de coloris quenous n’aurions jamais imaginé.

Longue vie à FabBrick !

L’aquascaparium

L’aquascaparium

En hommage à Takashi Amano

Takashi Amano, né et mort à Niigata, était un photographe paysagiste mondialement reconnu et un ardent défenseur de la Nature.

Aquariophile passionné, il est en quelque sorte l’inventeur de l’aquascaping – où l’art de transformer son aquarium en un tableau merveilleux.

Niigata étant jumelée à Nantes, notre terre d’origine, créer un lieu dédié à l’aquascaping nous apparaît comme une évidence.

(photo de Takashi Amano extraite du site aquaportail.com)

 

takashi amano créateur de l'aquascaping

Combien de lieux sont dédiés à l’aquascaping ?

Il existe beaucoup d’aquariums sur notre territoire et dans le monde entier, de tailles diverses, proposant des ateliers ou des conférences sur la préservation du monde et les éco-systèmes, mais étant essentiellement centré sur les espèces animales.

Notre idée est de créer un lieu dédié aux passionnés d’aquariophilie et d’aquascaping mais également ouvert à tous les curieux proposant l’aquarium comme un écosystème dans lequel les plantes, les minéraux et les « êtres vivants » forment un tout.

Un lieu comme une galerie d’art, composé de tableaux vivants.

 

photo montrant un paysage fait en aquarium
photo d'un paysage d'aquascaping

Plus qu’un musée : Un projet culturel et environnemental

Au-delà d’un simple musée, notre  projet s’inscrit, il nous semble, dans le sens de l’histoire. En effet, nous souhaitons que ce musée soit un bâtiment passif, énergétique autonome. Nous souhaitons récupérer l’eau de pluie, la filtrer et retraiter les eaux usées.

Nous avons imaginé ce musée au milieu d’un écrin de type parc japonais de 2 ha comme une ode à la nature.

Où en est-on ?

Nous avons prospecté en Loire-Atlantique, dans le sud du Morbihan et dans le nord-est de la Vendée.

Actuellement, les mairies sont plus enclins à favoriser l’installation de boutiques ou d’entreprises diverses et variées dans leurs zones d’activité ou industrielles qu’à recevoir un projet tel que le nôtre.

Nous allons donc poursuivre nos prospections afin de trouver la « terre promise ».

A suivre… 

 

Le Projet Terres d’Artisans

Le Projet Terres d’Artisans

Un projet multi-facettes

Fondé en 2016, le projet Terres d’Artisans consistait à fédérer une poignée d’artisans locaux (hors BTP) autour d’un projet économique, culturel, social et environnemental.

La face économique

L’objectif étant de permettre à ces artisans de réduire leurs coûts en mutualisant des services (site web marchand mutualisé, communication commune et individualisé sur réseaux sociaux, frais d’envoi mutualisés…), de leur redonner du temps de création, tout en accroissant leur chiffre d’affaires et pourquoi pas à terme de permettre la création d’emploi.

Le pan culturel

Travailler sur des produits locaux en petite quantité voire unique dans le secteur de la gastronomie (alimentaire hors frais), la petite maroquinerie, la céramique, des oeuvres d’art, le travail du bois, dans le respect des savoirs-faire parfois ancestraux.

Le côté social

Mutualiser la participation à des événements communs (salons pros) et organiser nos propres événements comme l’Odyssée Artisanale (qui consiste à organiser des marchés artisanaux de ville en ville le long de la Loire en emportant les artisans et leurs produits sur un bateau traditionnel de loire).

Le volet environnemental

Le projet privilégiait les circuits-courts et encourageait les artisans-partenaires à utiliser des matières premières bio ou recyclées pour élaborer leurs produits/oeuvres.

Lauréat de l’appel à projet Flots

La partie « Odyssée artisanale » a été récompensée dans le cadre de l’appel à projets Flots organisé par Nantes Métropole, Ports de Nantes Saint-Nazaire et VNF.

Aujourd’hui

La crise du Covid n’a pas permis de continuer l’aventure sous cette forme.

La baisse de chiffre d’affaires liée à l’arrêt des salons pros, marchés artisanaux, boutiques éphémères a contraint la majorité à mettre la clé sous la porte.

Cependant, le projet Terres d’Artisans existe sous une forme associative et a étendu ses activités surtout sur les volets social et environnemental.