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Fab-Brick : de la bonne idée au bon développement

Fab-Brick : de la bonne idée au bon développement

Fab-Brick : une idée qui a fait son chemin

Nous avons découvert Fab-Brick en 2017 et nous avions déjà fait un focus sur notre ancien site Oggma.

Ce projet créé de toutes pièces par Clarisse Merlet, étudiante en architecture, est né de l’idée que le secteur de la construction était polluant et énergivore et que celui du textile portait les mêmes caractéristiques. L’idée a donc consisté à se servir des déchets de l’autre pour l’utiliser dans l’un. En résumé se servir des vêtements usagers pour élaborer un isolant phonique et thermique.

Formées à partir de textiles usagés et assemblées avec une colle écologique, les « Bricks » ont l’avantage de s’emboîter façon Lego (encore une bonne idée !). Clarisse Merlet soumet donc son projet dans des concours et sur une plate-forme de financement participatif (c’est à cette occasion que nous avons découvert le projet).

 

mobilier de magasin élaboré avec les briques de FabBrick

Sans doute parce que le prix et le format (et peut-être le concept), le concept n’a pas conquis les constructeurs BTP.

En revanche, assembler ces briques pour en faire du mobilier a permis à la jeune entreprise de trouver sa voie et de se développer (voir photo ci-contre dans un magasin d’une grande chaîne de vêtements).

Aujourd’hui l’entreprise compte une dizaine de salariés et propose toutes sortes d’objets pour le design intérieur dans des gammes de coloris quenous n’aurions jamais imaginé.

Longue vie à FabBrick !

Eolienne Mistral : le parcours d’un courageux

Eolienne Mistral : le parcours d’un courageux

Un projet de longue haleine

Les projets sont notre raison d’exister et notre petite équipe Oggma est toujours attentive aux projets surtout quand ils s’inscrivent dans une démarche responsables notamment au regard de ce qu’on va laisser aux générations futures.

Le projet que nous allons décrire force le respect et l’admiration (au moins le nôtre…) d’autant plus qu’il fait écho à notre aventure.

 

Une éolienne à axe vertical

L’idée de Jean-Patrick Barbosa (et de son camarade de l’époque Yannick Müller) est de concevoir une éolienne éco-construite capable de produire de l’électricité lorsque la vitesse du vent est faible mais également capable de supporter de fortes rafales.

« Le projet, depuis le début est de rendre l’éolienne réellement écologique. Aujourd’hui les éoliennes sont de grandes génératrices avec des pâles en résine, un long mât posé sur un énorme socle en béton. L’idée est donc de développer une éolienne « à l’ancienne » en s’inspirant de techniques simples et durables, comme une Citroën 2cv. De la tôle, de la mécanique simple. Une éolienne à plat à axe vertical et superposable. » [NDLR : superposer plusieurs éoliennes afin d’augmenter la production]

 

eolienne mistral à axe vertical

 

Un projet simple mais une galère

Comme beaucoup de projet à son démarrage, le porteur de projet déborde d’enthousiasme parce qu’il est conscient de l’utilité de son oeuvre (très souvent à raison). Il ne compte pas ses heures en dehors du boulot pour la réaliser. Le projet de Jean-Patrick Barbosa entre dans ce cadre parcequ’il coche effectivement toutes les cases du sens de l’histoire : une production d’énergie verte, des pièces mécaniques donc un indice de réparabilité très important, un dispositif pas vraiment encombrant qui génèrent (a priori) pas ou peu de nuisance sonore qui ne crée pas de champ électro-magnétique rendant malade la faune et la flore….

…Et pourtant, le projet ne trouve pas de financeurs, ni privés, ni institutionnels.

Aimablement éconduit ou tout simplement ignoré, notre créateur se trouve dans une impasse qu’il peine à comprendre.

Malheureusement cette histoire est un cas d’école dans notre pays et valide le fait qu’il n’y a pas de bon produit au bon moment mais plutôt que « si tu n’as pas de réseau ton projet est voué à l’échec » et ceci quel que soit la valeur économique/environnementale/ sociétale du projet.

Un focus pour un homme courageux

Clairement notre équipe a été touché par le courage Jean-Patrick Barbosa que nous avons contacté récemment et qui n’a toujours pas abdiqué.

Si à notre niveau, cet article peut lui donner un coup de pouce…

Vous pouvez le contacter sur son profil facebook :

https://www.facebook.com/profile.php?id=100057414190954

 

 

 

 

L’aquascaparium

L’aquascaparium

En hommage à Takashi Amano

Takashi Amano, né et mort à Niigata, était un photographe paysagiste mondialement reconnu et un ardent défenseur de la Nature.

Aquariophile passionné, il est en quelque sorte l’inventeur de l’aquascaping – où l’art de transformer son aquarium en un tableau merveilleux.

Niigata étant jumelée à Nantes, notre terre d’origine, créer un lieu dédié à l’aquascaping nous apparaît comme une évidence.

(photo de Takashi Amano extraite du site aquaportail.com)

 

takashi amano créateur de l'aquascaping

Combien de lieux sont dédiés à l’aquascaping ?

Il existe beaucoup d’aquariums sur notre territoire et dans le monde entier, de tailles diverses, proposant des ateliers ou des conférences sur la préservation du monde et les éco-systèmes, mais étant essentiellement centré sur les espèces animales.

Notre idée est de créer un lieu dédié aux passionnés d’aquariophilie et d’aquascaping mais également ouvert à tous les curieux proposant l’aquarium comme un écosystème dans lequel les plantes, les minéraux et les « êtres vivants » forment un tout.

Un lieu comme une galerie d’art, composé de tableaux vivants.

 

photo montrant un paysage fait en aquarium
photo d'un paysage d'aquascaping

Plus qu’un musée : Un projet culturel et environnemental

Au-delà d’un simple musée, notre  projet s’inscrit, il nous semble, dans le sens de l’histoire. En effet, nous souhaitons que ce musée soit un bâtiment passif, énergétique autonome. Nous souhaitons récupérer l’eau de pluie, la filtrer et retraiter les eaux usées.

Nous avons imaginé ce musée au milieu d’un écrin de type parc japonais de 2 ha comme une ode à la nature.

Où en est-on ?

Nous avons prospecté en Loire-Atlantique, dans le sud du Morbihan et dans le nord-est de la Vendée.

Actuellement, les mairies sont plus enclins à favoriser l’installation de boutiques ou d’entreprises diverses et variées dans leurs zones d’activité ou industrielles qu’à recevoir un projet tel que le nôtre.

Nous allons donc poursuivre nos prospections afin de trouver la « terre promise ».

A suivre… 

 

Transformation digitale des entreprises: Pour quoi faire ?

Transformation digitale des entreprises: Pour quoi faire ?

Une nouvelle ère

Qu’on soit pro-digital ou complétement hermétique au numérique, ceux qui ne prennent pas le train en route vont se retrouver au bord du chemin (comme Kodak en son temps).

Le numérique est la suite logique du développement des sociétés humaines

L’humain dans toute son histoire n’a eu de cesse d’améliorer l’existant : de la fabrication d’outils pour cueillir, chasser, pêcher, se vêtir, s’abriter à la mécanisation de son agriculture ou de son industrie.

Le numérique est donc l’étape d’après.

Quel est l’objectif ?

L’objectif est toujours le même : supprimer les tâches à faible valeur ajoutée pour consacrer plus de temps aux tâches à forte valeur ajoutée.

Par exemple, un site web bien fait travaille pour vous jour et nuit, la connexion de vos comptes bancaires à une application de compta en ligne permet de rapprocher plus rapidement les écritures, une machine à commande numérique produit des pièces identiques répondant à un cahier des charges précis….

La liste est longue et tous les secteurs d’activité sont concernés.

Notre métier

Notre métier est d’observer comment vous travaillez et de vous aider dans cette réflexion de transition numérique.

Cette réflexion va vous aider à identifier vos besoins et les potentialités qui s’offrent à vous. Cela va sans doute vous contraindre à repenser vos procédures de travail.

Il n’y a pas d’outil parfait

Cette transition/tranformation passe par des étapes qui prennent en compte vos besoins et votre budget afin d’avoir l’adéquation optimale à l’instant t. En effet, nul besoin d’un ERP (ou PGI en français : Progiciel de Gestion Intégrée) de type SAP si votre entreprise n’a qu’une dizaine de salariés.

 

Le Projet Terres d’Artisans

Le Projet Terres d’Artisans

Un projet multi-facettes

Fondé en 2016, le projet Terres d’Artisans consistait à fédérer une poignée d’artisans locaux (hors BTP) autour d’un projet économique, culturel, social et environnemental.

La face économique

L’objectif étant de permettre à ces artisans de réduire leurs coûts en mutualisant des services (site web marchand mutualisé, communication commune et individualisé sur réseaux sociaux, frais d’envoi mutualisés…), de leur redonner du temps de création, tout en accroissant leur chiffre d’affaires et pourquoi pas à terme de permettre la création d’emploi.

Le pan culturel

Travailler sur des produits locaux en petite quantité voire unique dans le secteur de la gastronomie (alimentaire hors frais), la petite maroquinerie, la céramique, des oeuvres d’art, le travail du bois, dans le respect des savoirs-faire parfois ancestraux.

Le côté social

Mutualiser la participation à des événements communs (salons pros) et organiser nos propres événements comme l’Odyssée Artisanale (qui consiste à organiser des marchés artisanaux de ville en ville le long de la Loire en emportant les artisans et leurs produits sur un bateau traditionnel de loire).

Le volet environnemental

Le projet privilégiait les circuits-courts et encourageait les artisans-partenaires à utiliser des matières premières bio ou recyclées pour élaborer leurs produits/oeuvres.

Lauréat de l’appel à projet Flots

La partie « Odyssée artisanale » a été récompensée dans le cadre de l’appel à projets Flots organisé par Nantes Métropole, Ports de Nantes Saint-Nazaire et VNF.

Aujourd’hui

La crise du Covid n’a pas permis de continuer l’aventure sous cette forme.

La baisse de chiffre d’affaires liée à l’arrêt des salons pros, marchés artisanaux, boutiques éphémères a contraint la majorité à mettre la clé sous la porte.

Cependant, le projet Terres d’Artisans existe sous une forme associative et a étendu ses activités surtout sur les volets social et environnemental.